Un beau moment volé

C'était impossible mais je l'ai fait quand même! Juste entre le repas en famille et le boulot, je réussis à m'échapper pour te voir mon grand, plus d'une heure et demie de route en tout. Juste pour pouvoir entrer dans ton bureau, littéralement tomber à genoux entre tes cuisses, glisser ma main dans ton short et enrouler mes doigts autour de ton manche tout chaud, dur, long... je n'y croyais pas, me dis-tu. Moi non plus mon chou! Mais pourtant me voilà. Allez, sors-moi ta queue, je n'en peux plus, je ne pense qu'à te sucer depuis des jours! D'abord: empoigner la verge raide, la porter délicatement à ma bouche. Déposer un baiser langoureux sur sa tête, la glisser doucement entre mes lèvres, pour la caresser de ma langue. Aller de plus en plus loin, les yeux dans les yeux. Et la prendre lentement en entier, jusqu'au fond de ma gorge, le nez dans tes poils, mon chou. Juste pour t'entendre dire, tu es incroyable, y'a que toi qui sais la prendre en entier comme ça. Ces mots sont mon triomphe, je caresse tes cuisses, t'avale encore, encore. Et lorsque je me relève, très fière de moi, complètement allumée, je te la montre: je bande pour toi, mon chou!
Après avoir bien chevauché sa trique, pressée par le temps, arrive pour moi le moment de jouir. Je me lève et vais me mettre à genoux sur le petit lit. Quel démon est venu alors m'inspirer? Me voilà, sans réfléchir, qui joins mes poignets dans mon dos. Prends mes mains, mon chou. Je suis à toi. Il comprend: l'étau de ses doigts se ferme. Il me bascule en avant. Maîtrisée. Sous contrôle. A force de le répéter, pour l'exciter, je suis vraiment devenue sa pute, sa salope, sa chienne? Mon visage s'enfonce dans les draps. Et là: la sensation incroyable d'être ouverte pour la première fois. Son sexe fait sauter le verrou, se plante en moi, entre et sort. Fort, profond, puissant. D'une voix étouffée, je ne peux que redire, oui, oui, c'est bon, encule-moi comme ça. Et mes doigts fins viennent à leur tour enserrer les muscles de ses avant-bras, pour qu'il comprenne à quel point je consens, j'appelle, je me soumets à sa force et à sa verge raide et longue qui ne fait qu'entrer en moi. Lorsqu'enfin il me libère, c'est pour pouvoir m'entendre jouir sous lui. Délicatement, deux de mes doigts viennent frotter le frein de ma propre queue, dressée entre mes cuisses par le plaisir anal. Oui, oui, encule moi mon chou, j'y suis presque, voilà, je jouis, je jouis sur ta bite,oh, ohhh... en levrette sous mon homme, je crie le plaisir qui m'envahit. Jouis, jouis, vide-toi ma chérie. Lui aussi va venir. Quel délice alors d'être détendue, ouverte, et de recevoir sa trique en moi, et de l'entendre crier à son tour, oh ma chérie je te mets tout, je me vide en toi. Oui, oui, donne-moi tout ton foutre, mets-moi tout dans mon cul, j'adore ça, j'aime te faire jouir avec mon cul!
Départ précipité ensuite. Je sais que je suis en retard, mais peu m'importe. Le plaisr d'avoir encore été Joana supplante toute autre émotion. Je conduis mon petit fourgon avec un grand sourire béat aux lèvres. Lorsque je presse le pas et arrive à la réunion, je me sens si naturelle, légère, enjouée, que tous me rendent ce sourire. Aucun ne semble réaliser qu'une heure plus tôt, j'étais cette petite blonde en lingerie sexy qui encourageait son amant à l'enculer plus fort. A éjaculer en elle...
Opublikowano przez joan323232
1 miesiąc temu
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