Soins dentaires

Ohla, tu t'es cassé une dent? Ça fait tellement mal! On annule alors, mon pauvre chou? Non? Juste, tu es désolé de ne pas pouvoir me sucer? Oh, mais je sucerai pour deux, va! Et je sèche comme une vilaine fille la réunion planifiée au bureau pour prodiguer des soins à la personne très particuliers chez mon mec! Lorsqu'il entre chez lui er ferme la porte, je suis déjà la depuis un moment, et je sors de la salle de bain, emplissant la pièce des échos de mes talons hauts.
À chaque fois avec lui: cet enchantement pur qui m'embrase lorsque mes lèvres se posent autour de saverge dressée pour moi. Comme je ferme les yeux pendant que , sensuellement, je tète son gland. Et ces étincelles dans ma tête quand je commence à la faire coulisser dans ma bouche. Oui, depuis ma première fois, j'ai toujours aimé la fellation, pomper les gros chibres raides des mecs. Mais le sien: hmmm, toujours dur, long, épais, je suis une des rares à pouvoir l'avaler intégralement, ce qui me rend fière! Je ne déroge pas à la règle: à genoux devant lui, tignasse blonde enfouie entre ses cuisses, j'avale de la bite et je le caresse doucement. Tu es incroyable, y'a que toi qui sait me faire ça. Et moi, essoufflée, de la salive plein mon rouge à lèvres sombre: c'est trop bon, j'adore ça. Entre mes jambes, ma propre queue est raide, d'autant plus qu'il est clair que je suis,seulement là pour lui tailler une pipe et me faire démonter le cul.
Alors je me laisse vraiment aller. Je pompe, je pompe, insatiable, cette trique toujours raide. Et je lui montre la mienne, toute fière: regarde comme j'aime ça. On s'empoigne, mutuellement. Les yeux dans les yeux, moi à genoux en fille, lui assisnu dans son fauteuil, on se masturbe. Ensemble. Bite contre bite. Puis je repars, bouche grande ouverte, me faisant gifler à pleine volée par son érection!
Je monte à cheval sur lui: je m'enfile, faisant descendre mon anus le long de sa tige si magnifiquement ferme entre mes fesses. Et je m'y ramone le cul, de plus en plus excitée. Je suis faite pour ça, prendre de la bite. Claque moi le cul, pendant que tu m'encules. Oui, c'est trop bon d'être ta pute, je n'en ai jamais assez, allez, allez, encule-moi encore!, serre-moi dans tes grandes mains, que je sente que je suis à toi! Ma taille mince bien en prise, je laisse mon corps trouver le bon rythme. Mes fesses s'agitent tant et si bien sur la courbure de son engin qu'il me maîtrise soudain de ses mains puissantes: arrête-toi. Tu vas me faire jouir...
Encule-moi debout contre le mur. Oui, je suis ta chienne. Oui, démonte-moi. Je descends la nuisette sur mes fesses, juste pour pouvoir ànouveau lui dévoiler ce tanga noir en dentelle qui e rend fou. Je me cambre, appuyée au mur, et à nouveau son sexe me pénètre. J'adote te faire bander comme ça, ma chérie. Tu es exceptionnelle, avec ta grosse bite pendant que je te défonce. Tout ce que tu veux, mon chou, mais baise-moi, baise-moi encore avant que je te vide les couilles avec mon cul!
Cul en l'air, couchée sur le dossier du canapé, mes hanches enserrées dans ses mains, je me fais brutalement sodomiser. C'est gros, c'est long, c'est fort. Je bande. Et puis soudain: le plaisir, qui coule, blanc, chaud, abondant, entre mes jambes, pour se répandre sur le vieux plancher de pin blond. Lorsque j'ai fini de crier sous mon homme, que je je me calme un peu après cette tempête, mes cris reprennent. Il a encore augmenté le rythme, c'est son tour, il me casse le cul et se vide en moi de toute sa semence. Comme souvent, à bout de souffle, en riant, inondée de salive, de lubrifiant et de sperme, je me laisse couler au sol. Totalement libre, épanouie, assouvie.
Sa dent oubliée, je reprendsla route. Et je serre les miennes en pensant à l'ennui qui m'attend parmi mes collègues.
Opublikowano przez joan323232
2 mies. temu
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