Possédée

Je suis à genoux devant le miroir de sa chambre conjugale. Je viens de remonter la nuisette noire moulante au-dessus de ma poitrine. Je veux qu'il voie tout: de beaux (faux) seins ronds, dans ce magnifique soutien-gorge rouge, le string assorti, qui remonte bien haut sur mes hanches, et mon corps "d'enfer" (sic) mince et nerveux, mis en valeur dans ses courbes par lacombinaison en résille. Tu es belle, tu es à moi, me dit-on. Et entre mes cuisses: mon sexe, dur, gonflé. Et entre mes fesses: sa queue, qui inlassablement me pénètre. Sodomisée, dominée devant mon propre reflet, j'enchaîne les soupirs, les "enfile-moi, encule-moi, oui, c'est bon". Ses mains serrent mon cou. La tête me tourne. Sa verge me défonce le cul. Oui, oui, je suis ta pute, et je suis à toi.
Oui, c'est chaud aujourd'hui, peut-être plus que d'habitude, peut-être parce que nos échanges de ces 2 derniers jours ont été particulièrement explicites. Le fait est que j'étais attendue, chez mon maraîcher. Et qu'il était bien décidé à me faire goûter les produis frais de son exoloitation. Alors me voilà, une jambe gainée de résille posée sur le tabouret de bar, pendant qu'il me regarde enfiler un de ses concombres dans mon anus. Amusée, impudique, je fais aller le godemichet végétal, tout froid, tout lisse, pendant qu'il s'extasie: c'est magnifique tu es magnifique. Tu es magique. Ça m'amusait au début, de l'exciter ainsi. Mais le légume se réchauffe, ma chatte s'est ouverte, et je commence à bander, moi aussi. Ça m'excite tellement que je pose le joujou tout vert sur l'îlot central, tourne mes fesses vers lui: allez, vas-y, encule-moi tout de suite, j'en ai trop envie, je te sucerai plus tard.
Un profond soupir m'échappe alors que son long sexe épais et raide me pénètre, et se fraie un passage entre mes reins. Oui, oui, prends-moi debout au milieu du salon. Enfile-moi, enfile-moi avant que je te suce!
Poser mes lèvres sur cette tige encore chaude sortie de moi: aucun problème! Mes yeux se ferment seuls lorsque son sexe entre dans ma bouche. Ce n'est pas une pipe, pas une fellation, c'est -j'ose le mot- une dégustation. Oh tu le fais bien, ma chérie, il n'y en a pas beaucoup qui peuvent la prendre entière, dans la bouche, ou dans la chatte.
Mais ce n'est qu'un apéritif: oui, mon chou, je m'allonge sur ton canapé. Okay, je laisse pendre ma tête en-dehors de l'assise. Ohlala, tu te mets au-dessus de moi? En contre-plongée, je vois cette verge raide, énorme, menaçante. J'ai compris: j'ouvre mes lèvres dombres en grand, tu t'approches encore, et tu l'enfonces dans ma bouche, dans ma gorge, jusqu'à la garde. Je garde mon souffle. Je t'entends jouir. Puis, libération: ton sexe sort. Je respire. Et tu me reprends. Encore, encore, à un rythme de plus en plus soutenu. Nous y sommes: tu baises ma bouche comme tu baises mon cul, fort, totalement, jusqu'à ce que, d'une petite tape sur la cuisse, je te fasse comprendre: arrête, mon chou. Je n'en peux plus.
C'est à ce moment de mon excitation que me prend la fantaisie de me voir me faire sodomiser par mon homme. Voilà comment nous avons fini devant le miroir.
Me regarder monter l'escalier, dans ma tenue simple et de mauvais goût: un plaisir pour lui. Comme une vraie professionnelle, je balance mon fessier de gauche à droite, sineuse et sensuelle, alors que je le précède. Sur le petit lit d'appoint, une serviette est étendue.c'est là qu'il me prend, d'un coup, brutal et pervers, m'arrachant un cri où plaisir et surprise se mêlent. On m'interdit de me toucher! Je suis au bord de l'orgasme depuis un moment, je colle mon dos à lui, enroule mes doigts autour des siens, caresse ma verge, raide, prête à décharger, quand il se saisit de mes mains. Les ramène dans le dos. Enserre mes deux poignets dans une seule de ses grandes mains. Loin de me débattre, mes doigts s'accrochent à ses bras virils, épais. Il a compris. Je ne consens pas, c'est au-delà: j'appelle, j'approuve cette furieuse chevauchée qui me défonce les reins, penchée en avant, prisonnière. Et lorsqu'il me lâche enfin, c'est pour me planter entre ses jambes, et me regarder le masturber. Pendant que j'astique ma propre queue, folle d'excitation. Soudain, il se lève, colle son sexe brûlant contre ma peau, et inonde mon visage d'abondantes coulées de sperme. Une vraie faciale, chaude, musquée, envahissante, qui me fascine tant que je me relève et pars aussitôt m'admirer dans la glace de la salle de bain: souriante, heureuse, arborant fièrement les traces du plaisir donné à mon homme.
Et moi? Lorsque je reviens, démaquillée ************ des choses, il a déjà remis une capote. C'est mon tour. Toujours aussi dur, toujours aussi bon, il est reparti pour un tour! En quelques minutes, sous les coups répétés de sa verge en moi, je jouis sous lui, doucement, longtemps, abandonnée à lui. Il voudrait bien continuer une heure de plus, mais là c'est trop, stop, finito, fertig, over, acabat... Joana n'en peut plus! Ce qui ne nous empêche pas de planifier notre prochaine rencontre.
Opublikowano przez joan323232
2 mies. temu
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