Soirée fatale

C'est arrivé au moment où J.C. allait fermer la porte du garage . Les retraités, amoureux comme au premier regard, revenaient d'une soirée romantique , anniversaire d'un mariage si lointain.
La belle A. rentrait dans la maison par la porte communicante quand elle sursauta au cri de J.C., se retournant elle poussa un hurlement quand une des ombres surgies de la nuit la poussa violemment dans le vestibule. Elle chuta lourdement, à moitié assommée ,un bruit de lutte lui parvint vaguement. La porte du garage se refermant, des mots agressifs, des objets qui tombent, l'agression de faisait pas de doute. Tremblante elle tenta de se lever, quand deux mains puissantes agrippèrent ses chevilles puis la tirèrent vers le salon. Sa robe s'en retrouva retroussée jusqu'au nombril. Trainée devant la table basse elle aperçut J.C. , maitrisé par une clé de bras, un assaillant le fit agenouiller devant le canapé.
Un homme, pistolet à la main resta à les surveiller , les deux autres , la maison étant isolée, ne se souciaient pas du raffut qu'ils faisaient en vidant les meubles et fouillant chaque recoin. Bien sûr ils trouvèrent sans peine les quelques bijoux, pièces d'or et l'enveloppe de billets que le couple gardait par sécurité. L'un d'eux s'était assis devant l'ordinateur et commença à s'esclaffer .
J.C. se souvint d'avoir laissé son travail en cours, à savoir les dernières photos érotiques , de lui travesti et d'A. nue, leurs corps exposés dans les poses les plus impudiques.
- Bah mes salauds, he, regardez le cul de cette truie !
Tournant l'écran vers le couple et ses complices , c'est d'abord un gros plan d'A., en levrette ses mains écartant ses fesses, qui fut exposé à la vue de tous. Une photo dans la nature, pantalon à moitié baissé , A. dans une totale impudeur, les doigts crispés écartant les chaires, dévoilaient ses orifices largement ouverts, comme si elle venait d'être prise des deux côtés.
- Bouge toi la vieille, mets toi à poil ou je bute ton homme ! Dit le plus laids des trois en plaçant son arme sous le menton de J.C.
Trapu, des traits déformés de vieux boxeur, des yeux très clairs qui glaçaient les veines.
- Non, ne lui faites pas de mal, j'obéis ! Cria A.
En quelques instant elle fut nue .
A ce moment là le troisième homme se révéla comme étant le chef du groupe.
- Stop les gars, on se calme, fais défiler les photos ! Fit il d'une voix posée, presque précieuse.
- On entendait que des gloussements vulgaires tandis que les images se succédaient. Principalement des poses de jeux de rôle, comme des corps assassinés, dans des contorsions de fin de vie. Quelques courtes vidéos montraient un simulacre d'exécution, J.C. semblant frappé par une balle avant de chuter au sol. Toujours nu ou à moitié. Quand vinrent les images de J.C. travesti il y eu de francs éclats de rires, mais toujours pas un mots. Une main devant son pubis, l'autre bras en travers de sa lourde poitrine, A. observait du coin de l'œil un des hommes se frotter l'entre jambes, un autre s'humecter les lèvres et le chef , sans aucune pudeur, venait de sortir son sexe raide et caressait doucement ses lourds testicules pendant bas, comme ceux d'un taureau.
- Bon , les gars, je vous laisse la gonzesse , j'm'occupe du p'tit trav, hein mon mignon ? Allez bouge, à poil ! Le 'schlac ! ' d'un couteau automatique fit sursauter J.C. et quand la pointe de la lame commença à piquer entre l'oreille et la mâchoire il s'exécuta , la gorge sèche et craignant que ses intestins le lâchent. Le souffle court il ôta tout. Non pas que la nudité le gêne, mais la certitude d'un double viol barbare le terrorisait.
-Aahh, vous m'faites mal !
Le cri d'A. fut suivi de celui d'une double claque, le petit trapu lui tordait encore un téton de sa main libre, l'autre homme maîtrisait les bras d'A. par derrière tout donnant des coups de bassin obscènes. Puis elle fut retournée, mise à genoux sur le canapé.
- Allez toi, ramasse la robe de la vieille et enfile la !
Injonction suivie d'une énorme claque sur les fesses qui tira un gémissement à J.C., complètement choqué et perdu il obéit et se glissa dans la robe noire, très étroite pour lui. Il sentait sa petite poitrine et ses fesses rondes serrées, encore plus que quand il prenait plaisir à se travestir . Malgré la situation dramatique un début d'érection se moulait dans le tissu léger. C'est alors que des mains commencèrent à le palper et le caresser. L'agresseur avait dû ranger le couteau. Deux mains se glissèrent sous ses bras , puis des doigts serrèrent ses nichons menus et ses tétons furent pincés et tirés. Dans le même temps un sexe dure tentait d'écarter ses fesses. Là il fut poussé et se retrouva à côté d'A., dans la même position, à genoux, le buste penché sur le dossier du canapé, cul offert. Les époux se regardaient. A. les lèvres tremblantes commençait à subir la pénétration d'un des individus, l'autre, face à elle, tentait de faire durcir sa queue molle en la branlant activement. J.C. pouvait sentir l'odeur de vieille urine de ce porc et l'idée qu'A. allait devoir le sucer le révoltait. La robe fut soulevée , après avoir écarté ses jambes des mains ouvrirent ses fesses. Panique et excitation se télescopaient, J.C. avait des dizaines de fois fantasmé sur des situations semblables . Malgré lui son sexe était devenu dur comme du bois et savoir son anus exposé le faisait se cambrer pour s'offrir à la pénétration. D'ailleurs un gros crachat vint s'écraser sur sa rosette et le violeur frotta aussitôt son gland, puis poussa franchement sans s'arrêter. Le membre chaud rentra entièrement, les gros testicules vinrent frapper ceux de J.C. . Une main se glissa entre ses cuisses.
-Oh, ma salope, mais tu bandes dur, ça t'excite de te faire défoncer ! Hann, hann, hannn.
Des grognements de plaisir accompagnaient les coups de bassin pilonnant le derrière rond de J.C..
La bite sale à moitié durcie pénétra dans le bouche d'A. pendant que l'homme lui pinçait fortement le nez. Ses gémissements et hauts le cœur ni firent rien, le gros membre rentra entièrement tandis que maintenant sa tête était plaquée par une main puissante.
- Stop, pause ! Hurla le baiseur de J.C. alors qu'il sortait d'un coup sa bite palpitante, laissant l'orifice largement ouvert.
- Bah, patron, y'a mon zob il est tout dur , éructa celui face à A. ET J.C. , le gland à l'odeur immonde sortant du poing serré de l'individu et à deux centimètres des douces lèvres de sa chère épouse.
-Et moi j'ai pas encore déchargé dans l'cul d'la bourgeoise ! Gémit l'autre dont le membre venait de franchir la porte anale.
- On va s'faire poisser si on traine trop, mais bon OK, terminez vite !
Alors A. fut prise de façon ignoble, bouche et cul forcés, investis , violés, souillés. Le chef observait tout en maintenant J.C. dans la position, appuyant à présent un pistolet sur sa nuque tout en ayant sans ménagement enfoncé trois doigts dans l'anus que son membre avait déjà largement dilaté.
Les deux violeurs s'activaient férocement , les cris étouffés D'A déchiraient le cœur de J.C. . Au moment où les rustres commencèrent à jouir un 'BANG' explosa dans la pièce. Tandis que du sperme ressortait par les narines d'A la balle tirée par le chef perfora la boite crânienne , un nuage rouge inondant le côté gauche du canapé, tandis que le corps s'affaissait. Hurlant de terreur J.C. réussit à se redresser, alors que les deux bandits se retrouvaient avec leurs queues souillées encore dressées dans d'ultimes jets de foutre, visages effarés par la surprise. Le sursaut désespéré de J.C. fut stoppé net, la première balle, partie par accident dans la bousculade, lui déchira l'oreille gauche et fit exploser le gland turgescent du violeur qui expulsait juste sa dernière giclée .Le hurlement de douleur couvrit à peine le second coup de feu, le projectile mortel explosant la base et le somment de la tête de J.C. qui s'affaissa sur le corps d'A..
Le blessé s'était évanoui , l'hémorragie se déversait du sexe éclaté, froidement l'exécuteur posa le canon de son arme sur le front de son collègue et mit fin à cette vie pitoyable.
-Allez, on s'casse fit il sans un regard pour le carnage mais ses yeux le glace plantés dans ceux de son complice restant.
Avant de quitter les lieux il alluma les bougies des chandeliers sur le buffet, ouvrit tous les brûleurs de la gazinière et avant de fermer la porte du garage il ouvrit également la bouteille de gaz de rechange repérée en arrivant. Quand il atteignirent leur véhicule caché dans un chemin de traverse à 200 m , une forte déflagration déchira le silence de la nuit. Les pompiers et gendarmes prévenus longtemps après ne découvrirent déjà qu'un tas de matériaux fumants.
Opublikowano przez fire6395
6 mies. temu
Komentarze
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corianecd
do fire6395 : Bisous, bon weekend, doux rêves 
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fire6395
do corianecd : Avec plaisir, bonne soirée également.
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corianecd
Oh grand merci pour cette histoire inspirée et excitante, plein de bisous 
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corianecd
Ça continue..
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corianecd
De mieux en mieux.,...ou de pire en pire....
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corianecd
Wow
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fire6395
do corianecd : C'est ça, un peu occupé en ce moment, je vole des minutes de temps en temps.
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corianecd
Hummmm, petit à petit 
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fire6395
do corianecd : Merci. 😍😉
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corianecd
Ouiii super, très excitant 
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corianecd
do fire6395 : Ohhhhhh
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fire6395
do corianecd : Merci , vous allez souffrir, je le crains
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corianecd
Magnifique début, très excitant, merci 
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