Rencontre photographique entre Aline et Marika
J'aimerais te regarder à travers un objectif, comme Anita l’a fait tout à l’heure, pour tes photos d’identité…
Mais elle a vite dérapé, alors j’aimerais refaire ce voyage…
Zoomer sur ta robe légère et transparente qui dévoile ton corps, le suggère sans le montrer... Je parcourrai ta peau visible, bras, jambes, cuisses, que tu ouvriras à ma demande...
Pour zoomer sur l'ombre de ton pubis...
Je sentirai ma vulve picoter, mon regard rivé au tien, tes mains qui essaient de suivre la direction de l'objectif....
Tes mains qui m'offrent ta nudité, un court instant... Provocation ?
Ai-je eu le temps d’appuyer sur le déclencheur ?
Soulève ta jambe, pose ton pied sur l'estrade, pour que ta cuisse soulève ta robe, que tu lisses avec tes mains, comme pour m'attirer vers toi, par un réflexe prude…
Mais tes lèvres que tu humidifies avec ta langue et ton regard plongé dans le mien, exacerbent ta sensualité…
Je rate une photo, tremblante, submergée de désir…
Je ne vois plus que toi, ton corps à demi dénudé, prêt à s’abandonner à mes fantasmes…
J'ai envie d'avancer, de t'arracher cette robe sensuelle, qui cache encore quelques merveilles dans ses plis envoûtants...
Je lisse mes lèvres avec ma langue, j'ai soif... De qui, de quoi ?
L'objectif remonte, tes seins pointent leur téton... Mon ventre ondule tout seul, grogne, j'ai envie de le calmer...
Gros plan sur ton téton dressé, soulevant le fin tissus... Ta main glisse vers lui, inocente…
Tu le sais... Tu le fais...
Tu masses ce petit globe si érotiquement... Continue... Oui, comme ça... Sors-le... Glisse ta robe sur le sol... Tu es nue dessous ?
Assieds-toi par terre, cuisses ouvertes vers mon objectif...
Voilà! Tu es offerte...
Le sol froid sur tes jeunes fesses, mon regard dans le tien, un regard de femme soumise…
Tu te tiens bien droite, les jambes écartées…
J'avance vers toi, me penchant pour arriver à ta hauteur...
Je fais glisser ma robe, et viens contre toi...
- Aline, caresse ma chatte détrempée !...
Je suis nue aussi, et tu découvres mon corps...
Ta main glisse, remonte, découvre mon intimité…
Elle effleure, je m’ouvre pour elle, pour toi…
Tu as envie de toucher mes seins ? Fais-le, délicatement... N’arrête pas le reste…
Oui, jusqu’à ce que je jouisse…
Ensuite, passe tes cuisses entre les miennes, en ciseau, et avance ton pubis contre le mien...
Gros plan pour saisir nos vulves qui s'embrassent...
Tu obéis au doigt et à l'œil...
Ce contact lesbien me transperce le ventre... J'en gémis... Oui...
Bouge doucement d'avant en arrière...
On est femmes, on coule notre nectar de femme... Je t'aime.
On incline nos bustes en arrière, bras tendus.
On s’écartèle, je pousse ma chatte contre toi, tu pousses contre moi…
Tu ondules ton bassin, je me tiens des deux mains, toi aussi…
Ce seul contact entre nous… Par nos vulves encastrées, embrassées, échangeant leurs liquides…
Je bouge à mon tour… Je coule, je te sens m’effleurer, nos lèvres entrelacées…
Ton clitoris souffle le vent de la tempête… Tu me veux !
Je te désire…
Gros plan, sur nos vulves qui ondulent, devant, derrière…
Nos abricots luisants, tendrement enlacés…
Dans ce mini théâtre, libertin et privé, quelques spectateurs nous regardent, suivent nos mouvements, admirent nos plastiques… On n’a rien vu en entrant…
Certains, les yeux brillants ont une main sur leur sexe, tandis que des dames du monde, assistent à ce clip en direct…
Elles contiennent leurs fluides, à grand peine, électrisées par notre prestation…
D’une main habile et discrète, certaines calment leur appétit…
D’autres se tournent vers un voisin ou une voisine…
Je ne manque rien, quelques zooms volés, une culotte écartée, un sein hors du décolleté, les premiers feulements…
Si j’étais un homme…
Oui, si j’étais un homme, je te prendrais ainsi, mon sexe entrerait dans le tien…
Tu feulerais, tu viendrais à sa rencontre, tu ouvrirais ton vagin pour le recevoir…
Tu me demanderais de te faire l’amour, de te faire jouir, tant tu me désirerais…
Je me planterais en toi, te prendrais de plus en plus vite, je t’entendrais jouir de plus en plus fort…
Puis tu éclaterais ton plaisir, venant t’encastrer contre moi, me serrant dans tes bras, te prenant avec force, empalée sur mon sexe, avec passion et jouissant de nouveau en râlant ton orgasme…
M’agrippant avec tes bras, tes ondulations me donneraient le tournis, je ne pourrais me contenir plus longtemps et me libérerais en toi, en t’embrassant follement…
Maintenant, pose ta vulve sur le plancher…
Glisse-la, répand mon sperme qui s’échappe…
Puis mets-toi à genoux et lèche ma semence…
Ton cul de salope relevé, tu fais une cible magnifique…
Ils regardent ta langue laper mon jus qui s’écoule encore le long de tes cuisses…
C’est insoutenable…
Je suis femme, je suis Marika… J’ai fait de toi ma soumise…
Je sens une main sur ma bouche… Chut !... Deux yeux noirs et brillants…
Un spectateur ne peut se retenir et vient te sodomiser sans précaution plongeant son dard turgescent, dans ton fion de pouffiasse…
Que faire après ? Me soulever, t’aider en caressant tes seins, puis relever mes fesses, les ouvrir et attendre son bon vouloir !...
Jeter un regard circulaire dans la salle…
Tu aimerais me voir gémir sous le joug d’un spectateur ?
Ou tu préfères la photographe qui revient du magasin, avec ce qu’il faut pour s’occuper de ton cas, un double-gode énorme, que l’on va partager toutes les deux…
- Aline et Marika, enfoncez cet engin de plaisir dans vos entrailles ! Un godemichet bien large, pour vos culs de salopes… Je vais vous shooter ainsi, en train de vous goder comme des bourgeoises en chaleur, des gouines, des putes, allez-y, bougez, oui, criez, c’est ça !... Oh, que vous aimez ça…
Allez, faites-vous jouir ensemble !...
Mes amis vous applaudissent dans le parterre…
Ils vous attendent après…
Soyez gentilles avec eux… Les coussins vous éviterons de vous écorcher les fesses…
- Bien, Madame, si ce sont vos amis, je me ferai câline…
- Tu l’as été avec un homme trop pressé… J’espère que tu as joui…
- Oh, oui, Madame, il a été un amant éphémère, il était si touchant, j’ai récolté sa semence, en jouissant comme une catin… J’ai aimé son assaut incontrôlé, dicté par le désir de me saillir…
- On ne te demande pas d’aimer, juste d’obéir… As-tu aimé Marika, ta partenaire de jeux ?
- Oh, oui, Marika est très belle, madame… Elle connait la femme, elle sait me donner un plaisir infini, afin que je perde le nord et je deviens nymphomane, lesbienne, salope et soumise, sous ses doigts de fée… J’aime lui obéir…
Ses doigts, ont, comme un sexe, provoqué un rêve, quand ils m’ont pénétrée dans un état second, comme si elle était un homme… Elle m’a imprégnée, puis a fait de moi sa chose, j’ai obéi volontiers, en récoltant nos semences… Un spectateur a prolongé mon extase, et l’a sublimée, me faisant jouir comme jamais, par là où j’ai péché…
- C’est bien Aline, continue à obéir, tu as encore beaucoup à apprendre… Mais ce que tu nous as montré, jouer le jeu de Marika, t’offrir en léchant vos fluides répandus sur le plancher… Notre plaisir a été intense… Nous avons été envahies, nous, femmes de passion, par le sexe de cet homme… On l’a ressenti comme toi, au fond de nos entrailles, et on a joui de lui, sodomisées, violées, vidées de tout contrôle…
Continuez, allez dans le parterre, chérissez nos amis, ils doivent bouillir d’impatience…
Elle a repris son appareil et nous nous retrouverons épinglées dans sa boutique, nos secrets atours anonymement représentés dans des actions sublimées…
J’ai hâte de voir mes shoots et les siens…
Pour l’heure, nous nous asseyons sur des cuisses accueillantes… Un premier spectateur, à la bouche tactile, une langue agile, sautant de toi à moi, titillant nos tétons, et une main qui se glisse entre mes cuisses…
La séance est lancée… Je ressens le sexe sous moi se réveiller, insister…
J’écarte bien mes cuisses, positionne l’intrus…
Aline est partie sur un autre, même position, assise dos à son partenaire…
J’ai envie de lui, je le sens bien excité, bien dressé…
Un autre se campe face à moi, s’occupe de ma poitrine… Sa bite sort par enchantement et se tend vers ma bouche…
Le sexe du premier me pénètre.
Il n’a pas résisté de me voir emboucher un concurrent…
La lumière tamisée baisse encore d’un cran, mais j’entends le déclic furtif de l’appareil photo…
Il est en moi… J’ondule du bassin… Envaginée…
La queue du second, glisse entre mes lèvres, l’autre m’investit profondément… Il me soutient et me guide, j’écartèle mes cuisses pour mieux en jouir…
Il me délice, et l’autre se masturbe dans ma bouche à la même vitesse, l’objectif à quelques centimètres ne doit rien rater, le grain fin de ma peau, mon duvet, les replis de mes grandes lèvres, la sombre auréole autour de mon anus…
Je soupèse les couilles devant moi, les serre entre mes doigts…
La hampe se raidit, un puissant jet sort du méat, s’écrase sur mes seins, et je le récupère dans ma bouche pour la seconde salve…
Il se redresse et s’en va…
L’appareil a flashé en rafales…
« Oh, oui… Viens… Oui !... Baise-moi… C’est bon… Encore, plus fort, là !!! »
Il éjacule en me prenant dans ses bras, me serrant contre lui, me pilonnant de plusieurs ultimes coups de rein…
Mes seins battent la chamade, il s’en empare…
« Ouah ! quel homme ! Un tremblement de terre ! »
Je retombe… Assise… Il cherche ma bouche…
« Je veux te revoir… Tiens mon tel… Armand… »
Je me lève et passe devant Aline…
Enlacée avec une dame, robe retroussée jusqu’aux hanches, elle se fait sodomiser par un gentleman, pantalon aux chevilles…
- Aline, ne reste pas là… Va les voir tous, excite-les, hommes et femmes, donne-leur ce qu’ils sont venus chercher… Du plaisir, des instants où la vertu est dépassée, oubliée, et où on fait des choses insensées, pour satisfaire notre curiosité…
- Bien Marika… Je vais m’offrir à d’autres, à plusieurs, leur ouvrant mes trésors pour les satisfaire…
- N’oublie pas ces dames, elles voient en toi une salope, elles aimeraient en faire autant, alors guide les, fais-les oser, qu’elles plongent dans la fornication, c’est cela qu’elles cherchent, à être entraînées, pour ne pas avoir de remords…
- Oh !... Je vois… Vous avez raison… Je vais leur montrer, les forcer à m’imiter, s’ouvrir aux clients de Mme la Photographe…
Je plane sous les corps qui me prennent, Aline s’envoie en l’air avec une quinquagénaire, la foufoune à l’air, ouverte et déjà ensemencée… Elles se lèchent, quand deux hommes les sodomisent doucement, profitant de l’aubaine… Aline embrasse sa compagne, dès qu’elle se met à jouir du sexe qui l’encule avec fougue… La dame avait attendu ce plaisir tabou pour elle, depuis longtemps… L’homme la travaille, puis la met en levrette et va au bout de son chemin, la faisant crier sa maman…
Une autre, jalouse, vient s’exciter contre elle, se tourne vers son voisin et lui donne ses fesses…
Ces dames font dans la sodomie, toutes les 4, feulant cette caresse parfois brutale, je passe de bouche en bouche pour calmer leurs craintes, caresse leurs tétons, me glisse contre elle, offre ma chatte en échange d’un baiser… Je les ressens jouir du sexe qui les encule…
Les yeux dans les miens racontent leur histoire…
Quand un second partenaire, vient jouer par devant, elles se pâment en déversant des insanités vulgaires, mais se donnent avec fougue, accomplissant leurs fantasmes…
Embrochées par les deux orifices, nos donzelles sombrent dans la quiétude d’un plaisir atteint, dépassé, comblées de sensations impures, mais si intense et si intimes…
La plupart se sont dénudées au fil de leurs échanges, Aline les savoure, cerise sur le gâteau du plaisir !
Les hommes y sont tous passés…
Aline rampe pour s’allonger contre moi, les yeux baissés…
Elle a les fesses rouges, la chatte en bataille, encore ouverte et trempée de liquides divers, lèvres pendantes, anus dilaté, lui aussi détrempé d’avoir servi…
Elle a livré un combat héroïque, sans compter sa sueur, venant chercher les timides, les aidant à la prendre, suçant à loisir les sexes inoccupés…
Le clic-clac a fonctionné, quelques éclairs ont illuminé la pièce…
Le calme est revenu, la plupart de nos spectateurs sont sortis, quelques attardés dorment enchevêtrés, 2 hommes, 2 femmes… Deux belles bourgeoises, aux seins pleins, irréelles dans leur nudité, exposées à nos regards, récupérant d’une partie de cul mémorable…
Les mecs sont vannés, sexe disparu… En chien de fusil…
Elles semblent discuter, un bouche à oreille…
Quand une des deux rampe vers moi, je tends l’oreille…
- Marika, merci pour cette explosion sensuelle dans un monde que nous ne connaissions pas… Quelques heures d’abandon en toute sécurité nous ont redonné une libido normale… Nos fantasmes ont pris forme grâce à vous et Mme la Photographe… Sans oublier votre soumise Aline, un vrai trésor… On aimerait vous inviter chez nous un soir toutes les deux, et si votre amie veut se joindre à vous, nous en serions ravies. Ce sera dans ma villa, en l’absence de mon époux parti prendre les eaux à Vichy… Voici l’adresse et la date…
Ses yeux verts me transpercent… Ses seins opulents, généreux, sa peau de rousse, encore très belle, ses cuisses et son pubis sans aucune trace de l’âge… Son amie est à l’unisson, plus rondelette, mais pas grosse… Des traces de grossesse, des seins ronds, aux aréoles brunes, des gros tétons, elle a eu plusieurs enfants…
Marianne et Jessie…
On a échangé dans le temps fort de la bataille, sa chatte évasée, pilonnée par des sexes épanouis, m’avait chavirée… Mes doigts avaient plongé dans son vagin, et provoqué un orgasme, et une fuite non contrôlée… Comme la plupart des femmes de ce soir, elle était rasée… Seule son amie Jessie ne l’était pas, arborant quelques poils grisonnants, témoins de sa cinquantaine…
Deux femmes de qualité, bien élevées, réservées pour Jessie, habitées par le désir de plaire, et de jouir de leur vie… Mariées, mais libertines… Les autres font partie de leur groupe, Mme me renseignera sans doute…
Les hommes ont été parfaits, nous satisfaisant sans ciller, et se satisfaisant de nos efforts, surtout avec Aline… Parfaite Aline… Elle a dérouillé ce soir…
Je la retrouve dans le SPA, macérant dans des sels parfumés…
- Tu as été parfaite, Mme Anita est ravie de nous…
- Merci Madame…
- Je suis ton amie, pas ta maitresse…
- Je sais, mais j’ai aimé t’obéir… Quand le premier m’a pénétrée, j’ai joui en pensant à toi… Tu étais loin, je t’entendais gémir aussi, ça me prenait au ventre, je me suis défoncée avec son membre… Puis l’autre, et un autre, et les deux, les trois… Ils m’ont couverte de semence… Une femme est venue me lécher, aspirant leur sperme, en se masturbant… J’ai compris… J’ai baisé tous les hommes, debout assise, couchée, en levrette, à plusieurs, en sandwich, deux mains sur deux queues que j’agitais avec frénésie… Quel pied ! Je me suis faite trouée le cul… A deux dans mon fion, ils se sont régalés de moi, me prenant à fond en beuglant leur rut…
- On t’a attachée aussi ?
- Oui, mais c’était gentil, ils m’ont baisée sans que je puisse bouger… Mais j’ai joui autant qu’eux, tant ils étaient tendres… Pilonnée jusqu’à ce que mon abricot déborde… Là aussi, une femme a glissé sa langue pour tout récupérer, une brune, potelée, à la chatte énorme, une vraie grotte… Ce doit flotter dedans, elle est bonne pour les blacks…
Je la mets au courant pour le rendez-vous…
Habillée, lavée, je monte au magasin…
Anita m’embrasse tendrement…
Puis elle me montre tous les clichés… Un rêve !...
De l’érotisme, du porno doux, tendre, discret, intime… Je me ne me vois pas mais me devine, Aline aussi, puis des entrelacements orgiaques, sans voir les têtes, mais les culs y sont… Des photos de nu, des sexes, et des positions très suggestives, et d’autres en pleine action…
Je retrouve un jet de sperme, un sein maculé, des lèvres dégoulinantes de blanc frais…
Une douche de semence, plusieurs queues éjaculant sur un fessier magnifique, jusqu’à recouvrir l’abricot niché dans son con de salope…
Sur un cliché, on voit bien deux sexes plantés dans un vagin…
Dans un autre c’est l’anus qui est écartelé, ouvert et rougi, par deux belles verges en délire…
Un festival de seins, sucés, léchés, pincés, transpercés d’une aiguille d’or…
Des clitos émergeants, excités, turgescents, même comme un petit sexe, pointant comme un dard…
Comme je m’attarde sur ce dernier…
- C’est le mien… Ça vient avec mon gode… Je perds pied souvent, il bande ce petit pénis de femme… Il te fait envie ?
- Oui…
- A la soirée de Marianne… On se goussera à mort… Il y a des photos, je sais que c’est toi… Je me suis godée en te regardant, j’avais le cul trempé…
Ses lèvres sont douces et on ne résiste pas à un échange violent, nos cuisses écartelées, nos culottes éclatées, nos doigts envaginés…
On crie, on pleure, on vibre, on jouit, on orgasme, on se tord de plaisir sous nos caresses mutuelles…
Elle me suce, ses doigts tournent en moi, je pars loin, et lui rend sa générosité…
Elle est écartelée, dame bourgeoise se dévergonde, son clito roule sous mes doigts, sorti de sa cachette avec mes lèvres, ses orgasmes qui s’enchaînent, il devient énorme, je le masturbe avec ma langue et mes lèvres, et mes doigts découvrent sa grotte d’amour, sa fontaine explose, jaillit, inonde…
Je fais pipi de plaisir… C’est trop ! Anita !
FIN
Marika842010
juillet 2021
Mais elle a vite dérapé, alors j’aimerais refaire ce voyage…
Zoomer sur ta robe légère et transparente qui dévoile ton corps, le suggère sans le montrer... Je parcourrai ta peau visible, bras, jambes, cuisses, que tu ouvriras à ma demande...
Pour zoomer sur l'ombre de ton pubis...
Je sentirai ma vulve picoter, mon regard rivé au tien, tes mains qui essaient de suivre la direction de l'objectif....
Tes mains qui m'offrent ta nudité, un court instant... Provocation ?
Ai-je eu le temps d’appuyer sur le déclencheur ?
Soulève ta jambe, pose ton pied sur l'estrade, pour que ta cuisse soulève ta robe, que tu lisses avec tes mains, comme pour m'attirer vers toi, par un réflexe prude…
Mais tes lèvres que tu humidifies avec ta langue et ton regard plongé dans le mien, exacerbent ta sensualité…
Je rate une photo, tremblante, submergée de désir…
Je ne vois plus que toi, ton corps à demi dénudé, prêt à s’abandonner à mes fantasmes…
J'ai envie d'avancer, de t'arracher cette robe sensuelle, qui cache encore quelques merveilles dans ses plis envoûtants...
Je lisse mes lèvres avec ma langue, j'ai soif... De qui, de quoi ?
L'objectif remonte, tes seins pointent leur téton... Mon ventre ondule tout seul, grogne, j'ai envie de le calmer...
Gros plan sur ton téton dressé, soulevant le fin tissus... Ta main glisse vers lui, inocente…
Tu le sais... Tu le fais...
Tu masses ce petit globe si érotiquement... Continue... Oui, comme ça... Sors-le... Glisse ta robe sur le sol... Tu es nue dessous ?
Assieds-toi par terre, cuisses ouvertes vers mon objectif...
Voilà! Tu es offerte...
Le sol froid sur tes jeunes fesses, mon regard dans le tien, un regard de femme soumise…
Tu te tiens bien droite, les jambes écartées…
J'avance vers toi, me penchant pour arriver à ta hauteur...
Je fais glisser ma robe, et viens contre toi...
- Aline, caresse ma chatte détrempée !...
Je suis nue aussi, et tu découvres mon corps...
Ta main glisse, remonte, découvre mon intimité…
Elle effleure, je m’ouvre pour elle, pour toi…
Tu as envie de toucher mes seins ? Fais-le, délicatement... N’arrête pas le reste…
Oui, jusqu’à ce que je jouisse…
Ensuite, passe tes cuisses entre les miennes, en ciseau, et avance ton pubis contre le mien...
Gros plan pour saisir nos vulves qui s'embrassent...
Tu obéis au doigt et à l'œil...
Ce contact lesbien me transperce le ventre... J'en gémis... Oui...
Bouge doucement d'avant en arrière...
On est femmes, on coule notre nectar de femme... Je t'aime.
On incline nos bustes en arrière, bras tendus.
On s’écartèle, je pousse ma chatte contre toi, tu pousses contre moi…
Tu ondules ton bassin, je me tiens des deux mains, toi aussi…
Ce seul contact entre nous… Par nos vulves encastrées, embrassées, échangeant leurs liquides…
Je bouge à mon tour… Je coule, je te sens m’effleurer, nos lèvres entrelacées…
Ton clitoris souffle le vent de la tempête… Tu me veux !
Je te désire…
Gros plan, sur nos vulves qui ondulent, devant, derrière…
Nos abricots luisants, tendrement enlacés…
Dans ce mini théâtre, libertin et privé, quelques spectateurs nous regardent, suivent nos mouvements, admirent nos plastiques… On n’a rien vu en entrant…
Certains, les yeux brillants ont une main sur leur sexe, tandis que des dames du monde, assistent à ce clip en direct…
Elles contiennent leurs fluides, à grand peine, électrisées par notre prestation…
D’une main habile et discrète, certaines calment leur appétit…
D’autres se tournent vers un voisin ou une voisine…
Je ne manque rien, quelques zooms volés, une culotte écartée, un sein hors du décolleté, les premiers feulements…
Si j’étais un homme…
Oui, si j’étais un homme, je te prendrais ainsi, mon sexe entrerait dans le tien…
Tu feulerais, tu viendrais à sa rencontre, tu ouvrirais ton vagin pour le recevoir…
Tu me demanderais de te faire l’amour, de te faire jouir, tant tu me désirerais…
Je me planterais en toi, te prendrais de plus en plus vite, je t’entendrais jouir de plus en plus fort…
Puis tu éclaterais ton plaisir, venant t’encastrer contre moi, me serrant dans tes bras, te prenant avec force, empalée sur mon sexe, avec passion et jouissant de nouveau en râlant ton orgasme…
M’agrippant avec tes bras, tes ondulations me donneraient le tournis, je ne pourrais me contenir plus longtemps et me libérerais en toi, en t’embrassant follement…
Maintenant, pose ta vulve sur le plancher…
Glisse-la, répand mon sperme qui s’échappe…
Puis mets-toi à genoux et lèche ma semence…
Ton cul de salope relevé, tu fais une cible magnifique…
Ils regardent ta langue laper mon jus qui s’écoule encore le long de tes cuisses…
C’est insoutenable…
Je suis femme, je suis Marika… J’ai fait de toi ma soumise…
Je sens une main sur ma bouche… Chut !... Deux yeux noirs et brillants…
Un spectateur ne peut se retenir et vient te sodomiser sans précaution plongeant son dard turgescent, dans ton fion de pouffiasse…
Que faire après ? Me soulever, t’aider en caressant tes seins, puis relever mes fesses, les ouvrir et attendre son bon vouloir !...
Jeter un regard circulaire dans la salle…
Tu aimerais me voir gémir sous le joug d’un spectateur ?
Ou tu préfères la photographe qui revient du magasin, avec ce qu’il faut pour s’occuper de ton cas, un double-gode énorme, que l’on va partager toutes les deux…
- Aline et Marika, enfoncez cet engin de plaisir dans vos entrailles ! Un godemichet bien large, pour vos culs de salopes… Je vais vous shooter ainsi, en train de vous goder comme des bourgeoises en chaleur, des gouines, des putes, allez-y, bougez, oui, criez, c’est ça !... Oh, que vous aimez ça…
Allez, faites-vous jouir ensemble !...
Mes amis vous applaudissent dans le parterre…
Ils vous attendent après…
Soyez gentilles avec eux… Les coussins vous éviterons de vous écorcher les fesses…
- Bien, Madame, si ce sont vos amis, je me ferai câline…
- Tu l’as été avec un homme trop pressé… J’espère que tu as joui…
- Oh, oui, Madame, il a été un amant éphémère, il était si touchant, j’ai récolté sa semence, en jouissant comme une catin… J’ai aimé son assaut incontrôlé, dicté par le désir de me saillir…
- On ne te demande pas d’aimer, juste d’obéir… As-tu aimé Marika, ta partenaire de jeux ?
- Oh, oui, Marika est très belle, madame… Elle connait la femme, elle sait me donner un plaisir infini, afin que je perde le nord et je deviens nymphomane, lesbienne, salope et soumise, sous ses doigts de fée… J’aime lui obéir…
Ses doigts, ont, comme un sexe, provoqué un rêve, quand ils m’ont pénétrée dans un état second, comme si elle était un homme… Elle m’a imprégnée, puis a fait de moi sa chose, j’ai obéi volontiers, en récoltant nos semences… Un spectateur a prolongé mon extase, et l’a sublimée, me faisant jouir comme jamais, par là où j’ai péché…
- C’est bien Aline, continue à obéir, tu as encore beaucoup à apprendre… Mais ce que tu nous as montré, jouer le jeu de Marika, t’offrir en léchant vos fluides répandus sur le plancher… Notre plaisir a été intense… Nous avons été envahies, nous, femmes de passion, par le sexe de cet homme… On l’a ressenti comme toi, au fond de nos entrailles, et on a joui de lui, sodomisées, violées, vidées de tout contrôle…
Continuez, allez dans le parterre, chérissez nos amis, ils doivent bouillir d’impatience…
Elle a repris son appareil et nous nous retrouverons épinglées dans sa boutique, nos secrets atours anonymement représentés dans des actions sublimées…
J’ai hâte de voir mes shoots et les siens…
Pour l’heure, nous nous asseyons sur des cuisses accueillantes… Un premier spectateur, à la bouche tactile, une langue agile, sautant de toi à moi, titillant nos tétons, et une main qui se glisse entre mes cuisses…
La séance est lancée… Je ressens le sexe sous moi se réveiller, insister…
J’écarte bien mes cuisses, positionne l’intrus…
Aline est partie sur un autre, même position, assise dos à son partenaire…
J’ai envie de lui, je le sens bien excité, bien dressé…
Un autre se campe face à moi, s’occupe de ma poitrine… Sa bite sort par enchantement et se tend vers ma bouche…
Le sexe du premier me pénètre.
Il n’a pas résisté de me voir emboucher un concurrent…
La lumière tamisée baisse encore d’un cran, mais j’entends le déclic furtif de l’appareil photo…
Il est en moi… J’ondule du bassin… Envaginée…
La queue du second, glisse entre mes lèvres, l’autre m’investit profondément… Il me soutient et me guide, j’écartèle mes cuisses pour mieux en jouir…
Il me délice, et l’autre se masturbe dans ma bouche à la même vitesse, l’objectif à quelques centimètres ne doit rien rater, le grain fin de ma peau, mon duvet, les replis de mes grandes lèvres, la sombre auréole autour de mon anus…
Je soupèse les couilles devant moi, les serre entre mes doigts…
La hampe se raidit, un puissant jet sort du méat, s’écrase sur mes seins, et je le récupère dans ma bouche pour la seconde salve…
Il se redresse et s’en va…
L’appareil a flashé en rafales…
« Oh, oui… Viens… Oui !... Baise-moi… C’est bon… Encore, plus fort, là !!! »
Il éjacule en me prenant dans ses bras, me serrant contre lui, me pilonnant de plusieurs ultimes coups de rein…
Mes seins battent la chamade, il s’en empare…
« Ouah ! quel homme ! Un tremblement de terre ! »
Je retombe… Assise… Il cherche ma bouche…
« Je veux te revoir… Tiens mon tel… Armand… »
Je me lève et passe devant Aline…
Enlacée avec une dame, robe retroussée jusqu’aux hanches, elle se fait sodomiser par un gentleman, pantalon aux chevilles…
- Aline, ne reste pas là… Va les voir tous, excite-les, hommes et femmes, donne-leur ce qu’ils sont venus chercher… Du plaisir, des instants où la vertu est dépassée, oubliée, et où on fait des choses insensées, pour satisfaire notre curiosité…
- Bien Marika… Je vais m’offrir à d’autres, à plusieurs, leur ouvrant mes trésors pour les satisfaire…
- N’oublie pas ces dames, elles voient en toi une salope, elles aimeraient en faire autant, alors guide les, fais-les oser, qu’elles plongent dans la fornication, c’est cela qu’elles cherchent, à être entraînées, pour ne pas avoir de remords…
- Oh !... Je vois… Vous avez raison… Je vais leur montrer, les forcer à m’imiter, s’ouvrir aux clients de Mme la Photographe…
Je plane sous les corps qui me prennent, Aline s’envoie en l’air avec une quinquagénaire, la foufoune à l’air, ouverte et déjà ensemencée… Elles se lèchent, quand deux hommes les sodomisent doucement, profitant de l’aubaine… Aline embrasse sa compagne, dès qu’elle se met à jouir du sexe qui l’encule avec fougue… La dame avait attendu ce plaisir tabou pour elle, depuis longtemps… L’homme la travaille, puis la met en levrette et va au bout de son chemin, la faisant crier sa maman…
Une autre, jalouse, vient s’exciter contre elle, se tourne vers son voisin et lui donne ses fesses…
Ces dames font dans la sodomie, toutes les 4, feulant cette caresse parfois brutale, je passe de bouche en bouche pour calmer leurs craintes, caresse leurs tétons, me glisse contre elle, offre ma chatte en échange d’un baiser… Je les ressens jouir du sexe qui les encule…
Les yeux dans les miens racontent leur histoire…
Quand un second partenaire, vient jouer par devant, elles se pâment en déversant des insanités vulgaires, mais se donnent avec fougue, accomplissant leurs fantasmes…
Embrochées par les deux orifices, nos donzelles sombrent dans la quiétude d’un plaisir atteint, dépassé, comblées de sensations impures, mais si intense et si intimes…
La plupart se sont dénudées au fil de leurs échanges, Aline les savoure, cerise sur le gâteau du plaisir !
Les hommes y sont tous passés…
Aline rampe pour s’allonger contre moi, les yeux baissés…
Elle a les fesses rouges, la chatte en bataille, encore ouverte et trempée de liquides divers, lèvres pendantes, anus dilaté, lui aussi détrempé d’avoir servi…
Elle a livré un combat héroïque, sans compter sa sueur, venant chercher les timides, les aidant à la prendre, suçant à loisir les sexes inoccupés…
Le clic-clac a fonctionné, quelques éclairs ont illuminé la pièce…
Le calme est revenu, la plupart de nos spectateurs sont sortis, quelques attardés dorment enchevêtrés, 2 hommes, 2 femmes… Deux belles bourgeoises, aux seins pleins, irréelles dans leur nudité, exposées à nos regards, récupérant d’une partie de cul mémorable…
Les mecs sont vannés, sexe disparu… En chien de fusil…
Elles semblent discuter, un bouche à oreille…
Quand une des deux rampe vers moi, je tends l’oreille…
- Marika, merci pour cette explosion sensuelle dans un monde que nous ne connaissions pas… Quelques heures d’abandon en toute sécurité nous ont redonné une libido normale… Nos fantasmes ont pris forme grâce à vous et Mme la Photographe… Sans oublier votre soumise Aline, un vrai trésor… On aimerait vous inviter chez nous un soir toutes les deux, et si votre amie veut se joindre à vous, nous en serions ravies. Ce sera dans ma villa, en l’absence de mon époux parti prendre les eaux à Vichy… Voici l’adresse et la date…
Ses yeux verts me transpercent… Ses seins opulents, généreux, sa peau de rousse, encore très belle, ses cuisses et son pubis sans aucune trace de l’âge… Son amie est à l’unisson, plus rondelette, mais pas grosse… Des traces de grossesse, des seins ronds, aux aréoles brunes, des gros tétons, elle a eu plusieurs enfants…
Marianne et Jessie…
On a échangé dans le temps fort de la bataille, sa chatte évasée, pilonnée par des sexes épanouis, m’avait chavirée… Mes doigts avaient plongé dans son vagin, et provoqué un orgasme, et une fuite non contrôlée… Comme la plupart des femmes de ce soir, elle était rasée… Seule son amie Jessie ne l’était pas, arborant quelques poils grisonnants, témoins de sa cinquantaine…
Deux femmes de qualité, bien élevées, réservées pour Jessie, habitées par le désir de plaire, et de jouir de leur vie… Mariées, mais libertines… Les autres font partie de leur groupe, Mme me renseignera sans doute…
Les hommes ont été parfaits, nous satisfaisant sans ciller, et se satisfaisant de nos efforts, surtout avec Aline… Parfaite Aline… Elle a dérouillé ce soir…
Je la retrouve dans le SPA, macérant dans des sels parfumés…
- Tu as été parfaite, Mme Anita est ravie de nous…
- Merci Madame…
- Je suis ton amie, pas ta maitresse…
- Je sais, mais j’ai aimé t’obéir… Quand le premier m’a pénétrée, j’ai joui en pensant à toi… Tu étais loin, je t’entendais gémir aussi, ça me prenait au ventre, je me suis défoncée avec son membre… Puis l’autre, et un autre, et les deux, les trois… Ils m’ont couverte de semence… Une femme est venue me lécher, aspirant leur sperme, en se masturbant… J’ai compris… J’ai baisé tous les hommes, debout assise, couchée, en levrette, à plusieurs, en sandwich, deux mains sur deux queues que j’agitais avec frénésie… Quel pied ! Je me suis faite trouée le cul… A deux dans mon fion, ils se sont régalés de moi, me prenant à fond en beuglant leur rut…
- On t’a attachée aussi ?
- Oui, mais c’était gentil, ils m’ont baisée sans que je puisse bouger… Mais j’ai joui autant qu’eux, tant ils étaient tendres… Pilonnée jusqu’à ce que mon abricot déborde… Là aussi, une femme a glissé sa langue pour tout récupérer, une brune, potelée, à la chatte énorme, une vraie grotte… Ce doit flotter dedans, elle est bonne pour les blacks…
Je la mets au courant pour le rendez-vous…
Habillée, lavée, je monte au magasin…
Anita m’embrasse tendrement…
Puis elle me montre tous les clichés… Un rêve !...
De l’érotisme, du porno doux, tendre, discret, intime… Je me ne me vois pas mais me devine, Aline aussi, puis des entrelacements orgiaques, sans voir les têtes, mais les culs y sont… Des photos de nu, des sexes, et des positions très suggestives, et d’autres en pleine action…
Je retrouve un jet de sperme, un sein maculé, des lèvres dégoulinantes de blanc frais…
Une douche de semence, plusieurs queues éjaculant sur un fessier magnifique, jusqu’à recouvrir l’abricot niché dans son con de salope…
Sur un cliché, on voit bien deux sexes plantés dans un vagin…
Dans un autre c’est l’anus qui est écartelé, ouvert et rougi, par deux belles verges en délire…
Un festival de seins, sucés, léchés, pincés, transpercés d’une aiguille d’or…
Des clitos émergeants, excités, turgescents, même comme un petit sexe, pointant comme un dard…
Comme je m’attarde sur ce dernier…
- C’est le mien… Ça vient avec mon gode… Je perds pied souvent, il bande ce petit pénis de femme… Il te fait envie ?
- Oui…
- A la soirée de Marianne… On se goussera à mort… Il y a des photos, je sais que c’est toi… Je me suis godée en te regardant, j’avais le cul trempé…
Ses lèvres sont douces et on ne résiste pas à un échange violent, nos cuisses écartelées, nos culottes éclatées, nos doigts envaginés…
On crie, on pleure, on vibre, on jouit, on orgasme, on se tord de plaisir sous nos caresses mutuelles…
Elle me suce, ses doigts tournent en moi, je pars loin, et lui rend sa générosité…
Elle est écartelée, dame bourgeoise se dévergonde, son clito roule sous mes doigts, sorti de sa cachette avec mes lèvres, ses orgasmes qui s’enchaînent, il devient énorme, je le masturbe avec ma langue et mes lèvres, et mes doigts découvrent sa grotte d’amour, sa fontaine explose, jaillit, inonde…
Je fais pipi de plaisir… C’est trop ! Anita !
FIN
Marika842010
juillet 2021
3 lata/lat temu
