Anne (partie 2)
La voisine du dessus (Georgette) devait avoir 65 ans bien tassés, et était une amie de feu le grand-père d’Anne. Elle l’avait connue toute petite. Cette dame avant un « ami-amant », prénommé Roger, qui venait la voir régulièrement, pas très grand, avec un physique quelconque. Bien entendu, nous le connaissions très bien, et je pense que, compte tenu de la piètre isolation phonique de cet immeuble des années 60, et des gens que nous recevions, il devait savoir ce que nous faisions …
Un jour, Roger passe nous voir, et moi en particulier. Comme il savait que j’avais travaillé dans un magasin de vidéo, il m’a demandé si je savais réparer une cassette vidéo dont la bande s’était rompue. Je lui ai dit que je savais faire ce genre de petite réparation. Roger m’a prévenu que c’était un film un peu … « olé-olé » et demandé si cela ne me gênait pas. J’ai accepté sa demande avec le sourire … J’ai donc réparé la casette et bien entendu, j’ai visionné le film … c’était un porno français des années 80, avec de la baise à tout va, pas vraiment bien filmée, mais avec une scène qui m’avait excitée : une blonde à 4 pattes suçait un nain black, puis se faisait baiser par lui en levrette. J’ai montré cette scène à Anne qui, elle aussi a trouvé cela excitant.
Roger est passé récupérer sa casette une semaine plus tard.
Il me remercie pour la réparation, et je lui donne mon avis sur le film … en précisant que nous avions particulièrement apprécié le « temps fort » de la blonde avec le nabot noir … il est devenu écarlate, je pense qu’il avait pensé que je serai discret vis-à-vis d’Anne qui nous avait rejoints. Et il part dans des confidences … sur sa relation avec Georgette … je l’invité à s’assoir quelques minutes pour parler devant un pastis qu’il ne refuse pas. Et le voilà qu’il nous déballe sa misère sexuelle avec une femme qui fait l’amour comme avant-guerre … dans l’obscurité, sans fantaisie … et que donc, il regarde des pornos pour l’aider à se calmer tout seul ses ardeurs. Roger, nous avoue qu’il a toute une collection de pornos et qu’il pourrait nous en prêter si nous le souhaitions … ce à quoi j’ai répondu, « pourquoi pas … ». Dès la semaine suivante, il nous a approvisionné à raison d’une cassette par semaine. Des fois il ne faisait que passer, d’autres fois il s’arrêtait boire un pastis. Une fin d’après-midi, après deux ou trois pastis, il a commencé à lancer qu’avec Georgette ; ils trouvaient que nous étions un jeune couple « bien chaud », Georgette étant scandalisée, et visiblement pas lui … Je lui ai dit que nous regardions régulièrement des pornos, et que des fois nous faisions quelques soirées un peu spéciales, comme d’autres couples … Lors de son passage suivant, il en vient à demander, si en prenant l’apéro comme nous le faisions, il pourrait un peu regarder le film qu’il nous amène afin de se motiver avant de rejoindre Georgette … Anne n’étant pas là, j’ai temporisé, et ai mis la casette dans le lecteur, … un quart d’heure après, et quelques commentaires grivois, il est monté chez son amie. J’ai parlé de cela à Anne à son retour de la Fac. Elle a été quand même surprise … mais bon, sachant qu’elle rentrait souvent tard, elle a accepté (j’étais un peu obligé d’en passer par là, étant donné que j’habitais chez elle …). La fois suivante, il est venu, et avons regardé une partie un nouveau film (il me faisait avancer le film pour regarder les « meilleures scènes »), et Anne est rentrée plus tôt que les autres fois, Roger et moi, étions devant un verre à regarder une scène de cul. Elle ne s’est pas démontée, et est venue s’assoir avec nous. Du coup, Roger a été moins pressé de partir. J’ai donc servi un verre à tout le monde. Roger a essayé maladroitement de se justifier auprès d’Anne qui prenait cela avec amusement. Voir cet homme qui était bien plus vieux que son propre père essayer de se justifier auprès d’elle parce qu’il regardait des films pornos l’amusait. Elle a pris goût à la situation, je m’en suis aperçu très vite car elle rentrait plus tôt systématiquement et venait regarder les films avec nous.
J’ai testé son niveau d’excitation en la faisant parler pendant que je la baisais, la situation l’excitait … j’ai donc décidé d’en profiter. Lors de la visite suivante de Roger, alors que nous regardions quelques minutes de vidéo, sur une scène chaude, j’ai posé ma main sur la cuisse d’Anne et l’ai remontée doucement sous sa jupe. J’ai vu que c’était gagné quand j’ai observé son visage. Ce qui était pratique avec Anne, c’est quand elle était excitée, ses joues devenaient rouges … et ce fut le cas … Je savais donc que c’était bon. Elle a juste écarté les cuisses pour que ma main puisse la masser sur sa culotte. Roger regardait sans rien dire. Je lui ai fait signe de rester où il était. Anne fermait les yeux. En fonds, nous avions les gémissements du porno. J’ai très vite senti le tissu s’humidifier, je pouvais donc y aller plus franchement. J’ai écarté la culotte, et pour m’aider, Anne a élargi l’angle de ses cuisses. Roger n’en perdait pas une miette. Je lui montrais bien la chatte d’Anne. Elle avait les poils longs, blonds, épais comme ses cheveux. Anne a envoyé sa main pour saisir ma bite à travers mon pantalon, j’étais raide, moi aussi cela m’excitait. Elle s’est redressée pour pouvoir défaire ma ceinture et ma braguette. Elle a pris ma queue dans la bouche, sucée quelques instants, puis m’a lancé … « prends moi ! ». J’ai donc relevé sa jupe, retiré sa culotte et l’ai allongée sur le dos … Elle s’est largement écartée, et je suis venu sur elle pour planter ma bite dans sa chatte. La pénétration a été facilitée par sa mouille épaisse. Je lui ai ordonné « montres nous tes seins » ; elle a relevé son pull et fait sortir ses seins de son soutien-gorge. Elle les a massés pendant que je la pinait. Roger avait la bite à la main, il se branlait. Anne ne le quittait pas des yeux, un brin provocatrice. Il s’est approché pour mieux voir, à genoux à côté du canapé. J’avais pris appui sur mes bras tendus pour que Roger puisse mieux mater. Ses yeux allaient de partout passant des seins à la chatte d’Anne. Elle gémissait de plus en plus fort. Elle a avancé sa main pour lui toucher la queue. Il tenait sa chemise relevée pour bien la dégager. Il lui palpait les nichons. Je voyais sa bite, ni grosse ni petite, moyennement longue. Anne n’a pas tenu longtemps, et a avancé sa tête sur le côté pour aller le sucer. Je devrais plutôt dire le pomper, vu l’énergie qu’elle y mettait. Il n’ a pas résisté longtemps à la succion, il lui a craché son jus dans la bouche qu’elle a gardé fermée, avalant gorgée après gorgée, et pompant jusqu’à ce que son vier soit ramolli, comme si elle avait cherché à le faire rebander, mais non. Pour a part, je me retenais de na pas jouir. Je lui donnais de grands coups, violents, elle a explosé, un beau et gros orgasme. Je ne lui ai pas laissé le temps de reprendre ses esprits, je suis sorti de sa moule et me suis assis en lui lançant « suces moi ». Elle a pris ma bite couverte de sa mouille blanchâtre, et comme Roger, je n’ai pas profité longtemps de sa bouche, et j’ai tout lâché. Elle m’a branlé et aspiré jusqu’à la dernière goutte. Roger s’est relevé et à remis ses vêtements en ordre. Anne est restée prostrée, a demi allongée sur le canapé, la chatte à l’air. J’ai raccompagné Roger à la porte, j’ai pris son numéro de téléphone, j’avais quelque chose de différent à lui proposer … plutôt que de mater que des pornos, c’était de mater Anne et moi …
Nous avons donc fait de nouvelles séances où Anne s’est faite de plus en plus « garce » et allumeuse avec Roger. Elle a commencé à s’habiller spécialement pour ces rendez-vous. Elle mettait ce qu’elle réservait à nos jeux à deux ou à plusieurs. Soit une mini-jupe écossaise rouge, des Dim-up et chemisier blanc, aves des bottines noires, et rien dessous, soit elle apparaissait en peignoir avec dessous une guêpière rouge et noire, un string et des bas …
Elle trouvait une très grande excitation à s’exhiber devant Roger. A faire la « salope » à me caresser la queue tout en parlant avec Roger, puis à me sucer en le regardant. On ne lui disait plus rien, il se branlait en nous regardant, puis venait se faire sucer par Anne. Vis les gloussements de plaisir qu’elle émettait quand elle prenait sa bite en bouche, on comprenait tout de suite que cela pouvait aller plus loin.
J’ai donc un peu conditionné Anne. Je lui ai fait comprendre petit à petit qu’elle pourrait faire ce qu’elle voudrait de Roger. Sa première initiative : face à Roger, enfoncée dans le canapé, elle a relevé sa jupe, et lui a demandé « viens me lécher ». Il a immédiatement obéi. La suite a été au même niveau, « baises moi », et notre ami Roger est venu mettre sa bite dans la chatte de ma copine. Il l’a baisée, il était sur elle, elle lui a pris la tête pour l’embrasser, il l’a limée jusqu’à jouir dans son vagin. Je suis venue la recouvrir après lui. Elle a voulu lui sucer la bite, même si il ne bandait plus … j’ai juté moi aussi dans sa chatte.
Un peu plus tard dans le temps, elle est venue devant lui, lui a tourné le dos relevé sa jupette et lui a demandé « lèches moi le cul » elle s’est cambrée, et, à ma surprise, a écarté ses fesses, pour lui offrir son anus à lécher. Vu le niveau d’implication de Roger, et le plaisir que prenait Anne en sa présence, nous l’avons invité à nous rencontres de groupe dans l’appartement (pas quand nous étions invités).
Un jour, Roger passe nous voir, et moi en particulier. Comme il savait que j’avais travaillé dans un magasin de vidéo, il m’a demandé si je savais réparer une cassette vidéo dont la bande s’était rompue. Je lui ai dit que je savais faire ce genre de petite réparation. Roger m’a prévenu que c’était un film un peu … « olé-olé » et demandé si cela ne me gênait pas. J’ai accepté sa demande avec le sourire … J’ai donc réparé la casette et bien entendu, j’ai visionné le film … c’était un porno français des années 80, avec de la baise à tout va, pas vraiment bien filmée, mais avec une scène qui m’avait excitée : une blonde à 4 pattes suçait un nain black, puis se faisait baiser par lui en levrette. J’ai montré cette scène à Anne qui, elle aussi a trouvé cela excitant.
Roger est passé récupérer sa casette une semaine plus tard.
Il me remercie pour la réparation, et je lui donne mon avis sur le film … en précisant que nous avions particulièrement apprécié le « temps fort » de la blonde avec le nabot noir … il est devenu écarlate, je pense qu’il avait pensé que je serai discret vis-à-vis d’Anne qui nous avait rejoints. Et il part dans des confidences … sur sa relation avec Georgette … je l’invité à s’assoir quelques minutes pour parler devant un pastis qu’il ne refuse pas. Et le voilà qu’il nous déballe sa misère sexuelle avec une femme qui fait l’amour comme avant-guerre … dans l’obscurité, sans fantaisie … et que donc, il regarde des pornos pour l’aider à se calmer tout seul ses ardeurs. Roger, nous avoue qu’il a toute une collection de pornos et qu’il pourrait nous en prêter si nous le souhaitions … ce à quoi j’ai répondu, « pourquoi pas … ». Dès la semaine suivante, il nous a approvisionné à raison d’une cassette par semaine. Des fois il ne faisait que passer, d’autres fois il s’arrêtait boire un pastis. Une fin d’après-midi, après deux ou trois pastis, il a commencé à lancer qu’avec Georgette ; ils trouvaient que nous étions un jeune couple « bien chaud », Georgette étant scandalisée, et visiblement pas lui … Je lui ai dit que nous regardions régulièrement des pornos, et que des fois nous faisions quelques soirées un peu spéciales, comme d’autres couples … Lors de son passage suivant, il en vient à demander, si en prenant l’apéro comme nous le faisions, il pourrait un peu regarder le film qu’il nous amène afin de se motiver avant de rejoindre Georgette … Anne n’étant pas là, j’ai temporisé, et ai mis la casette dans le lecteur, … un quart d’heure après, et quelques commentaires grivois, il est monté chez son amie. J’ai parlé de cela à Anne à son retour de la Fac. Elle a été quand même surprise … mais bon, sachant qu’elle rentrait souvent tard, elle a accepté (j’étais un peu obligé d’en passer par là, étant donné que j’habitais chez elle …). La fois suivante, il est venu, et avons regardé une partie un nouveau film (il me faisait avancer le film pour regarder les « meilleures scènes »), et Anne est rentrée plus tôt que les autres fois, Roger et moi, étions devant un verre à regarder une scène de cul. Elle ne s’est pas démontée, et est venue s’assoir avec nous. Du coup, Roger a été moins pressé de partir. J’ai donc servi un verre à tout le monde. Roger a essayé maladroitement de se justifier auprès d’Anne qui prenait cela avec amusement. Voir cet homme qui était bien plus vieux que son propre père essayer de se justifier auprès d’elle parce qu’il regardait des films pornos l’amusait. Elle a pris goût à la situation, je m’en suis aperçu très vite car elle rentrait plus tôt systématiquement et venait regarder les films avec nous.
J’ai testé son niveau d’excitation en la faisant parler pendant que je la baisais, la situation l’excitait … j’ai donc décidé d’en profiter. Lors de la visite suivante de Roger, alors que nous regardions quelques minutes de vidéo, sur une scène chaude, j’ai posé ma main sur la cuisse d’Anne et l’ai remontée doucement sous sa jupe. J’ai vu que c’était gagné quand j’ai observé son visage. Ce qui était pratique avec Anne, c’est quand elle était excitée, ses joues devenaient rouges … et ce fut le cas … Je savais donc que c’était bon. Elle a juste écarté les cuisses pour que ma main puisse la masser sur sa culotte. Roger regardait sans rien dire. Je lui ai fait signe de rester où il était. Anne fermait les yeux. En fonds, nous avions les gémissements du porno. J’ai très vite senti le tissu s’humidifier, je pouvais donc y aller plus franchement. J’ai écarté la culotte, et pour m’aider, Anne a élargi l’angle de ses cuisses. Roger n’en perdait pas une miette. Je lui montrais bien la chatte d’Anne. Elle avait les poils longs, blonds, épais comme ses cheveux. Anne a envoyé sa main pour saisir ma bite à travers mon pantalon, j’étais raide, moi aussi cela m’excitait. Elle s’est redressée pour pouvoir défaire ma ceinture et ma braguette. Elle a pris ma queue dans la bouche, sucée quelques instants, puis m’a lancé … « prends moi ! ». J’ai donc relevé sa jupe, retiré sa culotte et l’ai allongée sur le dos … Elle s’est largement écartée, et je suis venu sur elle pour planter ma bite dans sa chatte. La pénétration a été facilitée par sa mouille épaisse. Je lui ai ordonné « montres nous tes seins » ; elle a relevé son pull et fait sortir ses seins de son soutien-gorge. Elle les a massés pendant que je la pinait. Roger avait la bite à la main, il se branlait. Anne ne le quittait pas des yeux, un brin provocatrice. Il s’est approché pour mieux voir, à genoux à côté du canapé. J’avais pris appui sur mes bras tendus pour que Roger puisse mieux mater. Ses yeux allaient de partout passant des seins à la chatte d’Anne. Elle gémissait de plus en plus fort. Elle a avancé sa main pour lui toucher la queue. Il tenait sa chemise relevée pour bien la dégager. Il lui palpait les nichons. Je voyais sa bite, ni grosse ni petite, moyennement longue. Anne n’a pas tenu longtemps, et a avancé sa tête sur le côté pour aller le sucer. Je devrais plutôt dire le pomper, vu l’énergie qu’elle y mettait. Il n’ a pas résisté longtemps à la succion, il lui a craché son jus dans la bouche qu’elle a gardé fermée, avalant gorgée après gorgée, et pompant jusqu’à ce que son vier soit ramolli, comme si elle avait cherché à le faire rebander, mais non. Pour a part, je me retenais de na pas jouir. Je lui donnais de grands coups, violents, elle a explosé, un beau et gros orgasme. Je ne lui ai pas laissé le temps de reprendre ses esprits, je suis sorti de sa moule et me suis assis en lui lançant « suces moi ». Elle a pris ma bite couverte de sa mouille blanchâtre, et comme Roger, je n’ai pas profité longtemps de sa bouche, et j’ai tout lâché. Elle m’a branlé et aspiré jusqu’à la dernière goutte. Roger s’est relevé et à remis ses vêtements en ordre. Anne est restée prostrée, a demi allongée sur le canapé, la chatte à l’air. J’ai raccompagné Roger à la porte, j’ai pris son numéro de téléphone, j’avais quelque chose de différent à lui proposer … plutôt que de mater que des pornos, c’était de mater Anne et moi …
Nous avons donc fait de nouvelles séances où Anne s’est faite de plus en plus « garce » et allumeuse avec Roger. Elle a commencé à s’habiller spécialement pour ces rendez-vous. Elle mettait ce qu’elle réservait à nos jeux à deux ou à plusieurs. Soit une mini-jupe écossaise rouge, des Dim-up et chemisier blanc, aves des bottines noires, et rien dessous, soit elle apparaissait en peignoir avec dessous une guêpière rouge et noire, un string et des bas …
Elle trouvait une très grande excitation à s’exhiber devant Roger. A faire la « salope » à me caresser la queue tout en parlant avec Roger, puis à me sucer en le regardant. On ne lui disait plus rien, il se branlait en nous regardant, puis venait se faire sucer par Anne. Vis les gloussements de plaisir qu’elle émettait quand elle prenait sa bite en bouche, on comprenait tout de suite que cela pouvait aller plus loin.
J’ai donc un peu conditionné Anne. Je lui ai fait comprendre petit à petit qu’elle pourrait faire ce qu’elle voudrait de Roger. Sa première initiative : face à Roger, enfoncée dans le canapé, elle a relevé sa jupe, et lui a demandé « viens me lécher ». Il a immédiatement obéi. La suite a été au même niveau, « baises moi », et notre ami Roger est venu mettre sa bite dans la chatte de ma copine. Il l’a baisée, il était sur elle, elle lui a pris la tête pour l’embrasser, il l’a limée jusqu’à jouir dans son vagin. Je suis venue la recouvrir après lui. Elle a voulu lui sucer la bite, même si il ne bandait plus … j’ai juté moi aussi dans sa chatte.
Un peu plus tard dans le temps, elle est venue devant lui, lui a tourné le dos relevé sa jupette et lui a demandé « lèches moi le cul » elle s’est cambrée, et, à ma surprise, a écarté ses fesses, pour lui offrir son anus à lécher. Vu le niveau d’implication de Roger, et le plaisir que prenait Anne en sa présence, nous l’avons invité à nous rencontres de groupe dans l’appartement (pas quand nous étions invités).
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